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Je n'entends que ta voix

Si douce et angélique

Quand tu parles de moi

Et que l'amour s'explique.

Tu connais mes questions

Que nos vies ramifient,

Elles sont dans le fond

Qu'amour à la folie.

Je ressens à mon tour

Cet instant si facile

Tout au cœur de la flore

Qui devient ma famille.

Et dans cette danse, Ô

Cet instant si facile,

Je te découvre nu :

J'ai cette envie d'être elle !

Je ressens à mon tour

Cet instant si facile

Tout au cœur de la flore

Qui devient ma famille.

Mon âme est dans ta voix

Si forte et angélique

Quand tu parles de moi

Et que l'amour s'explique.

Et j'entre dans l'instant

Jusqu’à en perdre haleine,

A vivre assurément

Une seconde pleine.

Que le monde est curieux,

Ta nature m'étonne.

Je ne suis que le feu

Dont tu fais ta fortune.

La cabane est château

D'une vie pure et claire.

Un jour m'offriras-tu

Toute l'envie princière

De redevenir mère ?

Dieu que je t'aime, moi

Aussi ! Entends ma voix

Qui devient impudique.

Viens et entoure-moi

De ce désir magique…

Hommage en bouts rimés à « Age d’or » d'Arthur Rimbaud

« Me too »


Je veux profiter de la pluie

Avant que le temps ne s'ennuie.

Je veux emporter ces baisers

Pour ton corps encore embrasser

Je veux que m'étreigne la nuit

Lorsque cette larme s'enfuit.

Je veux par cette eau emportée

Dans tes bras être retrouvée.

Je veux que mon corps se réveille

Et, qu'en toi, mon cœur s'émerveille.

Je veux commettre ce délit

Dans la blancheur de notre lit.

Je veux connaître le soleil

Jusqu'à en sentir le vermeil.

Je veux vivre toute l'envie

Dans l'infini de notre vie.

« Je veux que tu te réveilles le matin le sourire aux lèvres. »


C'est étrange cet instant

Que je n'aime pas.

Je ne sais combien de temps

Dans cette peur-là.

Il fait froid dans la cabane.

J'ai besoin d'amour,

D'être Anna plutôt que Jeanne,

D'un peu de toujours.

Par sa chaleur, emportée

Dans l'odeur de pin,

Ma vie s'est chocolatée,

Il m'offre demain,

Des sourires, des plaisirs,

Quelques notes d'Art...

Tant que j'en viens à frémir

D'un nouveau départ.

Serais-je bénie des dieux ?

Se serrent nos âmes,

Je vois au fond de ses yeux

Deux petites flammes...

« J'en reviens toujours pas. Tu sais que c'est mon plus bel anniversaire, en 33 ans, celui qui m'a fait le plus plaisir. »


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