Jour d'automne
- bulledesterres
- 6 mai 2013
- 1 min de lecture
S’évade sous l’horizon
Le chemin qui nous emmène
Visiter le cabanon ;
Je sens le ciel qui m'entraîne.
En flagrant délit de joie,
Je m'aperçois dans tes yeux
Que ton cœur est cette soie
Où l’on sent palpiter Dieu.
Comme la nuit tombe vite,
Je te quitte mon amant.
Je veux que le temps m'invite :
Ajoute le firmament !
Hommage en vers empruntés à « Nuits d’hiver (I) » de Victor Hugo
« Et cette petite cabane dans les bois aussi était très belle... »

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