Je veux, je voudrais...
Oh, non, je ne sais !
L'envie, le partage...
Juste un décalage !
Réfléchir, rêver,
Toucher, rencontrer...
Être une personne !
J'ai peur ! Je résonne...
Tu touches du doigt
Rien qu'un bout de moi,
Ma raison de vivre :
Tu ouvres mon livre !
De mes sensations
A mes vraies raisons,
Je fuis mais m'entête
Au clair de ma tête...
Pourquoi le hasard
Mange ton regard ?
Mes mots se souviennent
De nos vies anciennes.
Merveilleux, il pleut !
Peut-on être heureux ?
Je ne peux ce thème !
Pourquoi ? - Je t'aime. –
« « Il pleut : c'est merveilleux. Je t'aime. » »

Je ne sais ce que je veux te montrer
Je ne sais ce que je veux dévoiler
Je voudrais que ce soit le ciel
Une partie de moi essentielle
Cet espace fluide et transparent
Qui vibre en moi que je ressens
Je voudrais que ce soit la montagne
Que mon plaisir de gravir te gagne
Que la liberté soit une envie
Et que tu puisses m'offrir ta vie
Je voudrais que ce soit le soleil
J'ai besoin d'un amour qui s'éveille
De toucher du bout des yeux le bonheur
D'en chercher en moi la saveur
Je voudrais que tu me donne la main
Pour m'emmener sur un autre chemin
Et peut-être si un jour je l'ose
Ce sera un petit bout de rose
« Du bleu, du vert, du jaune et même du rose »

Merveilleuse...
Le mot glisse dans mon oreille,
Douceur à nulle autre pareille.
D'ordinaire, on me dit pas ça !
Là, je pleure avec ce mot-là !
Merveilleuse...
Les mots caressent ma figure
Et prennent ainsi leur envergure.
Je prends le temps dans mon regard
Les laissant voguer au hasard.
Crois en toi...
Tes mots m'accompagnent. Dis-toi,
Je ne donne pas cher de moi
Quand battent en moi leur présence.
Je sens renaître la confiance...
Crois en moi...
« Il pleut encore... Tes mots résonnent (raisonnent aussi) dans ma tête avec force et douceur. »
