14 mai
- bulledesterres
- 14 mai 2017
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Le matin se teinte de rose
dans le souffle chaud de ta peau,
de ta peau et de ton amour, lentement.
La lumière a pénétré la pièce
qui s'est couverte de pièces d'or
et de délicieuse essence de pin.
Quelques ombres découvraient ta peau
blanche sous quelques vêtements sombres.
Tendre, mon âme glissa le long de ton corps
laissant dans un coin nos peurs cachées,
laissant la place à nos lueurs, faibles.
Heureux dans ce désir incontrôlable,
nos corps, deux flammes aux désirs incontrôlables,
trouvaient un sens à leurs sens.
La lumière les envahissait, sensuelle,
d'une passion calme et unique.
D'une infinie tendresse, nue, la vie
ne devenait qu'une idée, parfaite, pure...
Le plaisir n'était qu'un lien intense,
une réponse consciente, une vérité,
l'incarnation d'un amour corps et âmes.

L'idée de l'amour
N'existe en réalité
Qu'au fond de nos cœurs
Inspiré de « La lenteur de la haine » de Pagu
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