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16 septembre

  • Photo du rédacteur: bulledesterres
    bulledesterres
  • 16 sept. 2016
  • 1 min de lecture

La vie n'est qu'un instant de rêve,

Une porte qui s'ouvre dans une âme.

Je ressens encore ton corps

Qui, soudain, envahit mon corps.

Doucement, glissant dans mes veines,

Ton sang vient cogner contre mes tempes.

Sa brûlure puissante et profonde

Laissera une trace indélébile.

Ton tendre amour est ce violent opium

Sans aucun vaccin, ni aucun sérum,

Ce n'est que ton sang brûlant en moi.

Et si en toi s'efface le monde

A chaque fois, que vient un « je t'aime »,

Sonne à mon oreille ton requiem.

Ton sang dans le mien

Me consume avec violence

Requiem of dream

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